Description

Quelle a été le comportement, sous l’occupation, de la gendarmerie dans le village de Mendive ?
L’Organisation de Résistance de l’Armée (O.R.A.) avait des projets pour toute les situations, saviez-vous qu’une attaque du port de Saint-Jean-de-Luz avait été envisagée ?
Un avion a été abattu à Erromardie (quartier de Saint-Jean-de-Luz) … Durant la guerre d’Espagne, la solidarité à Saint-Jean-de-Luz et Ciboure, ne fut pas un vain mot, une réalité racontée avec émotion au travers de personnages très connus au pays Basque, et ailleurs.
Dans la vie des juifs,  la spoliation de leurs biens fut une réalité, petite approche sur la situation dans la région du Labourd.
Port le plus au sud de la façade atlantique, Saint-Jean-de-Luz a vu partir les premiers engagés de la France Libre, témoignage d’un compagnon de la Libération.
Le docteur Spéraber, ancien combattant de 14-18, démobilisé en 1940, médecin de famille à Saint-Jean-de-Luz, futur résistant et chef de réseau…
Belle étude sur les italiens en France avant la guerre et l’agence consulaire de la villa Thiébaut à Anglet et son étrange consul M. Alberto Bonelli.
« Les années volées dans mon petit coin du monde » de Maïta Branquet, livre publié aux Etats-Unis sur sa période durant l’occupation allemande dans l’hôtel familial « de la Poste » à Saint-Jean-de-Luz.
Les soldats « indigènes » combattant pour la France sont issus d’Algérie, de Tunisie, du Maroc, des colonies d’Afrique noire d’Indochine et de Madagascar ou de colonies plus anciennes. Les allemands, à l’issue de leur victoire, refusant de les admettre sur leur territoire, les renvoyèrent en France.
Pour prévenir l’afflux massif au fronstalag 222 du Polo-Beyris, les allemands créèrent des kommandos de travail dont l’Arbeitskommando d’Hendaye.